Les Communes
peuvent refuser |
Protégeons notre santé et surtout celle de nos enfants
Danger des ondes
électro-magnétiques :
à propos de l'étude (à venir) de l'Anses
et de l'étude déjà publiée du Criirem
1) Attention à ne pas nourir d'espoirs à propos de l'étude de l'Anses
L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation,
de l'environnement et du travail (Anses)
doit publier en 2016 une étude sur la dangerosité du déploiement des compteurs
communicants.
Le point à souligner est que ErDF (avec la bénédiction de l'Etat) déploie ces
compteurs avant
même d'avoir le résultat de l'étude de l'Anses ! C'est l'expression
d'un mépris total des citoyens.
Pour autant, il serait bien naïf d'attendre de
l'Anses qu'elle recommande l'arrêt du déploiement de
des compteurs communicants. Ce serait bien la première fois qu'une agence officielle
remettrait en
cause les immenses profits attendus par les industriels et les financiers au
détriment des citoyens.
Tout au plus peut-on s'attendre à des
explications alambiquées assorties de recommandations
lénifiantes. On nous dira que la dangerosité n'est pas prouvée de façon
incontestable, alors
que l'information importante est que l'
inocuité n'est pas prouvée de façon incontestable !
2) Attention, instrumentalisation malhonnête d'une étude du Criirem
Les promoteurs des compteurs communicants prétendent que
« Une expertise menée par le Criirem a confirmé quil ny avait
pas de risque
sanitaire aigu ni de risque deffets physiopathologiques à craindre. »
La mise au point de Pierre Le Ruz, président du Criirem,
est sans équivoque :
« Cest une présentation très malhonnête
de notre expertise ! ».
En effet, cette absence de risque concerne uniquement les effets
thermiques des compteurs, et non les risques (électrosensibilité, cancer)
qu'ils causent de par l'exposition aux ondes électro-magnétiques. Lire ici