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Particuliers et communes, nous |
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Après le nouvel
incendie d'un Linky dans le Loiret :
il faut immédiatement stopper le programme Linky
Le mensonge d'Etat sur les incendies
causés par les Linky est en tout point
comparable au scandale du sang contaminé :
des décisions délibérément
criminelles pour préserver des intérêts industriels et financiers.
Impressionnant incendie d'un
Linky dans une clôture extérieure à Louveciennes
Vous pouvez imaginer les conséquences lorsque le Linky
est dans votre logement...
Samedi 13 octobre, un énième grave incendie a été causé par un compteur Linky. La politique de déni permanent de l'industriel Enedis (filiale d'EDF) se heurte cette fois aux dires de la
police qui était présente sur les lieux et met totalement en cause le compteur Linky.
Il va donc être difficile cette fois
pour Enedis et ses séides de prétendre comme
d'habitude que les gens qui accusent le Linky de
causer des incendies sont des "affabulateurs" ou des
"provocateurs".
La vérité est que le Linky cause des incendies, qui peuvent être mortels, et de
différentes façons.
La vérité est aussi que l'excuse d'Enedis d'un mauvais montage du Linky
- par les sous-traitants, plus compétents pour mentir et menacer que pour
installer correctement les compteurs - n'est qu'une des causes d'incendie.
La vérité la plus glaçante a été avouée par l'organisme Promotelec,
dont fait partie Enedis, avant que cet aveu soit auto-censuré le 25 mai
: Promotelec a ainsi reconnu que "lorsque
le technicien place Linky chez un particulier et
règle le disjoncteur de branchement, il n’est pas chargé de vérifier si
l’installation électrique du foyer est en mesure de supporter le niveau de
puissance défini" et que "dans
le cas où les sections de câbles ne sont pas adaptées aux nouveaux réglages, des accidents (feu) peuvent se produire".
Qui plus est, Promotelec
a reconnu que ce drame peut en particulier se produire "le
jour où le particulier fait la demande auprès d'Enedis
afin d'augmenter la puissance de son compteur".
Or, après la pose du Linky, de nombreux ménages voient leur installation
disjoncter continuellement et sont précisément obligés à prendre
un abonnement d'une puissance supérieure, ce qui les place dans le pire cas de
figure pointé par Promotelec. Le Linky
a très probablement déjà tué par incendie, drame qui va hélas se démultiplier
au fil du temps.
Le 25 mai, après que nous ayons
révélé ce scandale de la plus grande gravité, Promotelec
a censuré sa propre alerte et fait disparaitre de son site web
la mention "dans le cas où les sections
de câbles ne sont pas adaptées aux nouveaux réglages, des accidents (feu)
peuvent se produire".
Il faut par ailleurs noter que la
réglementation oblige Enedis et ses sous-traitants à
installer le Linky sur un panneau constitué d’un fond
de panneau et d’une platine-support en
matériau synthétique auto-extinguible. Or les Linky sont posés à la chaine sur les panneaux existants,
qui sont la plupart du temps en bois, ce qui est donc totalement illégal et
générateur d'incendies.
En résumé, pour
préserver ses intérêts industriels et financiers
(en particulier dans le Big data et les objets
connectés), Enedis a décidé de prendre le risque de tuer des gens, ce qui se produit
hélas : ce scandale est donc en tout point comparable à celui du sang
contaminé.
Le programme Linky
doit immédiatement être stoppé, les Linky déjà installés doivent être remplacés par des
compteurs ordinaires sur simple demande des habitants et, dans les autres cas,
une grande campagne de vérification des installations électriques doit être
organisée.
Enquête :
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